Finaliste au Arthur Ellis Award, best french crime novel, 2017

«Dès les premières pages, le ton est lancé et le lecteur saisit bien qu'il se trouve devant une oeuvre riche qui sort des sentiers battus. (...) le signal est clair, l'intrigue est ici au service des personnages et non le contraire. (...) L'intrigue est extrêmement bien ficelée et tient le lecteur en haleine du début à la fin, et se lit d'une traite, presque avec avidité.»
Benoît Migneault - Fugues, juin 2016

 «... il y a chez les protagonistes, autant que dans la narration, une si grande richesse de couleurs, qu'il permet d'entrevoir que cette nouvelle série marquera la littérature d'ici.»
Daniel Marois - Huffington Post

«Plus zen que Kate McDougall, la nouvelle protagoniste de Seymour nous entraîne dans le milieu gai de Montréal, avec un petit détour exotique par le Tibet. Une belle réussite !»
Norbert Spehner - La Presse

«J’ai passé la fin de semaine à dévorer ce roman-là. J’étais intéressée franchement par rien d’autre…(…) Elle nous emmène dans un nouvel univers avec de nouveaux personnages et on s’attache très rapidement à tous ces enquêteurs (…) Je lui dis : Bravo!»
Marie-Claude Veilleux - ICI Première, C’est pas trop tôt en Estrie

«Avec un style limpide, une plume rythmée, des personnages qui offrent une bouffée de fraîcheur au genre policier et des enquêtes aussi captivantes que déroutantes, Johanne Seymour a créé un univers d’une richesse insoupçonnée.»
Samuel Larochelle - Huffington Post

«Un bon début pour une série prometteuse, avec une enquêtrice compétente et sympathique qu'on aura du plaisir à retrouver.»
Norbert Spehner - Le Placoteux

«Pour moi, c’est un nouveau genre de polar qui me fait du bien et que j’ai envie de lire plus souvent. Chapeau bas à Johanne Seymour ! (...) J’ai été enchantée de lire un polar qui ENFIN nous sort des personnages d’enquêteurs éculés. Quelle audace de Johanne Seymour!»
Yannick Ollassa - Blogue Livresquement boulimique

«À travers Rinzen Gyatso, Johanne Seymour nous fait saisir la difficulté de l’exil et la complexité de l’intégration dans une société aussi différente que la nôtre pour tout nouvel arrivant. Ne serait-ce que pour cela — et même pour quelques grands principes bouddhistes, en passant —, on attend avec impatience la prochaine aventure de cette inspectrice...»
Michel Bélair - Le Devoir


Un enfant qui se sent disparaître, le journal d’un confesseur, un vieillard crucifié… et un étonnant duo d’enquêteurs: Rinzen Gyatso, une bouddhiste qui vit avec son fils de sept ans et ses parents tibétains, et Luc Paradis, un athée insomniaque qui, la nuit, s’entraîne à la boxe et arpente le quartier gai.
Quand le frère Samuel Clément est trouvé mort dans son appartement, Rinzen et Paradis plongent au coeur d’une enquête qui ébranle leurs convictions et les oppose. Et leur supérieur, le lieutenant Gerry Desautels, en pleine crise existentielle de la cinquantaine, ne leur est d’aucun secours. Plus les victimes s’additionnent, plus l’équipe se perd en hypothèses.
Pendant ce temps, l’homme perdu les observe et s’interroge. Qui le sauvera de lui-même?

Rinzen et l’homme perdu, Libre expression, coll. Expression Noire, 2016