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Johanne Seymour signe la nouvelle Comme un raisin sec dans ce collectif de nouvelles noires regroupant six auteur(e)s québécois(es) et centré sur le thème des animaux de compagnie.

Avec Comme un raisin sec, Johanne Seymour nous fait voir que la lumière au bout du tunnel peut parfois prendre la forme d'une boule de poil!

Comme chiens et chat, Stanké, 2016
 
 
 
 


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«J'ai lu Wildwood d'une traite. L'écriture est fluide et agréable, l'intrigue bien construite et la reconstitution magistrale de cette année fatidique, digne d'un bon roman historique, est empreinte de nostalgie. Est-ce un polar? Aucune importance dans le fond (...) Pour les amateurs du genre, il y a des meurtres, une enquête, des suspects, un dénouement, un coupable. Ce qui est déjà pas mal. Mais il y a plus... Et c'est l'ensemble des éléments, plus un personnage central fort et sympathique, qui font que la recette (pas de sens péjoratif ici...) fonctionne pour en faire une lecture des plus plaisantes»
Norbert Spehner - Revue Alibi

« Wildwood » est une réussite sur toute la ligne…» 
Richard Migneault - Polar, noir et blanc

«Avec comme trame de fond la guerre du Vietnam, l’anxiété palpable des proches des futurs combattants, et les cicatrices béantes laissées par ceux qui ont réussi à revenir en un morceau, mais le cœur en miettes, Wildwood portraiture avec un réalisme vibrant la fin des années 60 aux États-Unis. Et c’est probablement la plus belle réussite de Seymour: avoir su donner vie à une histoire poignante qui a d’autres prétextes d’exister qu’un simple meurtre…»
Éric Dumais - Bible urbaine  ****1/2

«On s'attache à Michelle. Et ce qui correspond à l'adolescence... les doutes, les émois, les troubles et tout ça, c'est là aussi. Mais avec une bonne intrigue derrière. Vraiment ça se dévore très très rapidement. Trop rapidement!» 
Chrystine Brouillet - Salut, bonjour weekend/TVA

«Johanne Seymour sait écrire. Elle sait vous accrocher jusqu'à la dernière page.» 
André Robitaille - Entrée principale / ICI Montréal

«Johanne Seymour démontre une belle maîtrise de son écriture (...). Les personnages, tout particulièrement Michelle, Tom, Denise et le sympathique détective Sam Garcia, sont définis par quelques traits descriptifs mais surtout par leurs actes et paroles. L'intrigue, habilement construite, glisse vers le polar et nous amène à une fin qui échappe intelligemment à la pirouette surprise...» 
Jacques Filippi -
The house of crime and mystery

«Excellent roman d'apprentissage, qui sent la mer, les hot-dogs de vacances, mais aussi le doute, la peur, la désillusion. Saupoudré de musique de l'époque qu'on entend entre les lignes...» 
M.-C. Veilleux - La Nouvelle

«Somehow Wildwood, in its 245 pages that turn far too quickly, manages to be a coming-of-age story, a murder mystery, and a critique of America’s involvement in Vietnam through the eyes of the generation that may have felt its fallout the strongest. Peppered with song lyrics from the music of the day—from The Beatles and The Rolling Stones to Léo Ferré and Robert Charlebois—it’s easy to step into Michelle’s world and picture strolling down the boardwalk alongside her. A compelling narrator and a quick pace make Wildwood an easy read that’s hard to put down.» 
David Warriner - Québec reads

1968…
Michelle a seize ans et n'a qu'une idée en tête : quitter l'adolescence qui lui pourrit la vie. Elle rêve de connaître l'amour dans les bras d'un lifeguard lors des vacances familiales à Wildwood. Mais le monde autour d'elle est en révolution. Et cet été sur la plage, en compagnie de ses amis américains, elle connaîtra l'amour en même temps que les ravages de la guerre du Vietnam.

La découverte du cadavre d'une femme sous la promenade qui longe la mer lui fera comprendre que la violence a des ramifications profondes. Que l'amour n'a rien à voir avec les films à l'eau de rose dont elle s'abreuve. Car il y a l'amour des hommes et la violence des hommes. Et, surtout, il y a les hommes victimes d'une violence qu'ils s'imposent au nom de la liberté, de la justice et de l'équilibre économique.

Cet été de 1968, ce n'est pas son adolescence que Michelle va laisser derrière elle, c'est son innocence.

Wildwood, Libre expression, 2014

 
 
 
 


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Johanne Seymour signe la nouvelle  233°C dans ce collectif regroupant plus d’une dizaine d’auteurs québécois.

Avec 233 °C, écrit en hommage à Henri Tranquille, le libraire qui a modelé ses jeunes années, Johanne Seymour signe un crime littéraire!

Crimes à la librairie, Éditions Druide, 2014

 

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